Formation cours sur les moteurs de recherche

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La recherche sur Internet

par Jean-René Gonthier
Source des informations

C’est une évidence : sur Internet on trouve de tout et pour tous les goûts. Mais quand il s’agit de fouiller ce vaste espace, plus d’un surfeur se trouve bien embarrassé. Il n’existe aucun remède miracle, cela se saurait! Pourtant, pour mener à bien une recherche, disons qu’il faut tout d’abord avoir une idée bien précise du but exact de la recherche afin de cerner le mot-clé le plus pointu. Si ce terme n’est pas répertorié, il faudra alors élargir la quête par le choix d’un mot plus large de sens ou par l’adjonction de plusieurs termes. On optera alors pour une recherche évoluée faisant appel à des opérateurs booléens.

Selon une récente étude menée par l’annuaire web allemand «Allesklar» (http://www.allesklar.de) les dix mots de recherche les plus utilisés représentent déjà 15% de toutes les entrées et les 60 plus fréquents un bon quart. La moitié de toutes les requêtes est effectuée avec un vocabulaire de seulement 700 termes. Le résultat de plus fréquemment constatés est frustrant car ce sont généralement des milliers de correspondances plus ou moins vagues avec le domaine recherché qui sont trouvées. Et pourtant quelques connaissances de base et un minimum de bon sens suffisent dans de nombreux cas pour obtenir des résultats de recherche utilisables.

Internet est tellement vaste que de nombreuses organisations ont pris le taureau par les cornes et ont tenté d’y mettre un peu d’ordre. L’objectif, dans la plupart des cas, est purement commercial. C’est par exemple le placement d’une bannière publicitaire en accord plus ou moins parfait avec le domaine interrogé.

Deux moyens essentiellement différents de recherche se côtoyent, d’une part les annuaires et d’autre part les moteurs de recherche.

Qu’est-ce qu’un annuaire?

Pourquoi choisir un moteur de recherche?

Il s’agit d’un outil de recherche qui recense des sites web par des fiches descriptives. Chaque site est référencé par son titre et son URL ainsi qu’un bref commentaire. Dans certains cas, la dernière date de modification du site est aussi incluse. Ce travail de fourmi est essentiellement humain et ne peut guère s’automatiser.
Dans cette catégorie qui s’apparente à des «pages jaunes du Web» on trouve des sites comme Yahoo qui est l’un des plus connus (http://www.yahoo.com). Si une requête posée sur Yahoo n’aboutit à aucun résultat, le quémandeur se verra dirigé automatiquement vers Inktomi.com, qui est lui un moteur de recherche.

Voici encore d’autres annuaires:
Web.de (http://www.web.de),
Allesklar (http://www.allesklar.de),
Dmoz (le petit dernier de Netscape) aussi dénommé «Open Directory Project» (http://www.dmoz.org). Le concept du moteur de recherche est foncièrement différent de l’annuaire. Il est basé sur l’utilisation d’«espions» ou de robots logiciels (appelés crawlers ou spiders). Ceux-ci examinent le Web à intervalles réguliers et dressent des index.

Dans les moteurs de recherche citons l’incontournable et très performant Altavista de Compaq/Digital (http://www.altavista.com ou http://www.av.com).

Ce moteur fait appel au robot logiciel «scooter» pour remettre à jour, toutes les six semaines, son index qui totalise 150 millions de pages.

Test
Selon Abondance.com l'incontournable Altavista sort vainqueur d’un test portant sur les huit principaux moteurs de recherche mondiaux.

Voici donc ce classement général : (échelle de 20 points)
Altavista http://www.av.com (13,3/20);
Northern Light (13,02/20);
Excite (http://www.excite.com)(10,42/20);
HotBot (http://www.hotbot.com)(9,53/20);
Lycos (http://www.lycos.ch) (9,28/20);
WebCrawler (http://webcrawler.com) (9,15);
Voila (http://www.voila.fr) (8,82)
Infoseek (www.infoseek.com) ( 8,46 points sur 20)

Faudrait voir à ne pas en oublier!

Et d’autres moteurs de recherche non moins intéressant tels que :

Opentext (http://indexopentext.com)

et Google (http://www.google.com), l’un des derniers-nés.

Swiss Search (http://www.search.ch),

SwissGuide (http://www.swissguide.ch).
Cette liste n’est évidemment pas exhaustive et sujette à des évolutions.

Signalons encore que suivant la requête, il est préférable de faire appel à des sites spécialisés. Ainsi si l’on recherche une adresse E-mail aux Etats-Unis il est préférable de dénicher tout d’abord un annuaire de pages jaunes en entrant les mots-clés «Yellow + Page», puis parfaire la recherche.

Et pour les francophones

Si l’on est purement francophone ou que l’on désire connaître une information axée sur la France, la Belgiquele Québec ou encore la Suisse romande, il faut alors avoir recours aux moteurs français suivants :

Francité (http://francite.com),
Eureka (http://www.eureka-fr.com),
Lokace (http://www.lokace.iplus.fr),
Nomade (http://www.nomade.fr)
Voilà (http://www.voila.fr)
C’est trouvé (http://www.ctrouve.com)

Et si l’on désire poser une question bien spécifique, pourquoi ne pas faire un tour du côté de http://www.cybertrouvetout.com ou tout un chacun peut questionner l’espace cybernétique et espérer comme dans les «usenet» qu’une bonne âme viendra répondre à la question.

Source:
Tiré des documents remis par Messe Basel, ainsi que d'autres sources sur le Web, tels que «Abondance.com», «Cybertrouvetout.com», et le nouveau guide de l'Internet : "Ungi.com".

La recherche sur Internet

Qu’est-ce qu’un annuaire?

Pourquoi choisir un moteur de recherche?

Formation SmartSearching | Opérer une recherche

Formation SmartSearching | Opérer une recherche

.	La recherche sur Internet par Jean-René Gonthier Source des informations
	C’est une évidence : sur Internet on trouve de tout et pour tous les goûts. Mais quand il s’agit de fouiller ce vaste espace, plus d’un surfeur se trouve bien embarrassé. Il n’existe aucun remède miracle, cela se saurait! Pourtant, pour mener à bien une recherche, disons qu’il faut tout d’abord avoir une idée bien précise du but exact de la recherche afin de cerner le mot-clé le plus pointu. Si ce terme n’est pas répertorié, il faudra alors élargir la quête par le choix d’un mot plus large de sens ou par l’adjonction de plusieurs termes. On optera alors pour une recherche évoluée faisant appel à des opérateurs booléens. Selon une récente étude menée par l’annuaire web allemand «Allesklar» (http://www.allesklar.de) les dix mots de recherche les plus utilisés représentent déjà 15% de toutes les entrées et les 60 plus fréquents un bon quart. La moitié de toutes les requêtes est effectuée avec un vocabulaire de seulement 700 termes. Le résultat de plus fréquemment constatés est frustrant car ce sont généralement des milliers de correspondances plus ou moins vagues avec le domaine recherché qui sont trouvées. Et pourtant quelques connaissances de base et un minimum de bon sens suffisent dans de nombreux cas pour obtenir des résultats de recherche utilisables. Internet est tellement vaste que de nombreuses organisations ont pris le taureau par les cornes et ont tenté d’y mettre un peu d’ordre. L’objectif, dans la plupart des cas, est purement commercial. C’est par exemple le placement d’une bannière publicitaire en accord plus ou moins parfait avec le domaine interrogé. Deux moyens essentiellement différents de recherche se côtoyent, d’une part les annuaires et d’autre part les moteurs de recherche.
	Qu’est-ce qu’un annuaire?	Pourquoi choisir un moteur de recherche?
	Il s’agit d’un outil de recherche qui recense des sites web par des fiches descriptives. Chaque site est référencé par son titre et son URL ainsi qu’un bref commentaire. Dans certains cas, la dernière date de modification du site est aussi incluse. Ce travail de fourmi est essentiellement humain et ne peut guère s’automatiser. Dans cette catégorie qui s’apparente à des «pages jaunes du Web» on trouve des sites comme Yahoo qui est l’un des plus connus (http://www.yahoo.com). Si une requête posée sur Yahoo n’aboutit à aucun résultat, le quémandeur se verra dirigé automatiquement vers Inktomi.com, qui est lui un moteur de recherche. Voici encore d’autres annuaires: Web.de (http://www.web.de), Allesklar (http://www.allesklar.de), Dmoz (le petit dernier de Netscape) aussi dénommé «Open Directory Project» (http://www.dmoz.org).	Le concept du moteur de recherche est foncièrement différent de l’annuaire. Il est basé sur l’utilisation d’«espions» ou de robots logiciels (appelés crawlers ou spiders). Ceux-ci examinent le Web à intervalles réguliers et dressent des index. Dans les moteurs de recherche citons l’incontournable et très performant Altavista de Compaq/Digital (http://www.altavista.com ou http://www.av.com). Ce moteur fait appel au robot logiciel «scooter» pour remettre à jour, toutes les six semaines, son index qui totalise 150 millions de pages.
	Test Selon Abondance.com l'incontournable Altavista sort vainqueur d’un test portant sur les huit principaux moteurs de recherche mondiaux. Voici donc ce classement général : (échelle de 20 points) Altavista http://www.av.com (13,3/20); Northern Light (13,02/20); Excite (http://www.excite.com)(10,42/20); HotBot (http://www.hotbot.com)(9,53/20); Lycos (http://www.lycos.ch) (9,28/20); WebCrawler (http://webcrawler.com) (9,15); Voila (http://www.voila.fr) (8,82) Infoseek (www.infoseek.com) ( 8,46 points sur 20)	Faudrait voir à ne pas en oublier! Et d’autres moteurs de recherche non moins intéressant tels que : Opentext (http://indexopentext.com) et Google (http://www.google.com), l’un des derniers-nés. Swiss Search (http://www.search.ch), SwissGuide (http://www.swissguide.ch). Cette liste n’est évidemment pas exhaustive et sujette à des évolutions.
	Signalons encore que suivant la requête, il est préférable de faire appel à des sites spécialisés. Ainsi si l’on recherche une adresse E-mail aux Etats-Unis il est préférable de dénicher tout d’abord un annuaire de pages jaunes en entrant les mots-clés «Yellow + Page», puis parfaire la recherche. Et pour les francophones Si l’on est purement francophone ou que l’on désire connaître une information axée sur la France, la Belgiquele Québec ou encore la Suisse romande, il faut alors avoir recours aux moteurs français suivants : Francité (http://francite.com), Eureka (http://www.eureka-fr.com), Lokace (http://www.lokace.iplus.fr), Nomade (http://www.nomade.fr) Voilà (http://www.voila.fr) C’est trouvé (http://www.ctrouve.com) Et si l’on désire poser une question bien spécifique, pourquoi ne pas faire un tour du côté de http://www.cybertrouvetout.com ou tout un chacun peut questionner l’espace cybernétique et espérer comme dans les «usenet» qu’une bonne âme viendra répondre à la question.
	Source: Tiré des documents remis par Messe Basel, ainsi que d'autres sources sur le Web, tels que «Abondance.com», «Cybertrouvetout.com», et le nouveau guide de l'Internet : "Ungi.com".